Billet d'humeur ? réflexion politique ? bon dimanche !

Publié le par NICOLAS

Aux enfants de la commune .
Aux fils et filles de la révolution française .
A ceux qui pensent qu’ il n’ y a qu’une seule souveraineté :la souveraineté du peuple pour le peuple et par le peuple.

Nous les républicains,  conscients de vivre dans un régime qui n’ est pas neutre .
conscients que le jour où nous avons coupé la tête  de la monarchie nous avons coupé la verticalité ,
vidé les cieux des idoles et pris notre destin entre nos mains .
Cela n’est  pas simple pour nous :résister, désobéir !
car rien que n’est plus simple que d être à genoux !.
Nous avons de la chance , de la chance car nous au 21ième siècle ,nous avons derrière nous les victoires et les échecs du passé .
Nous avons derrière nous la Commune,  le Front Populaire, la révolution russe ,  chinoise, cubaine , la république  espagnole , nous avons derrière nous :Rosa Luxembourg, Louise Michel, Proudhon, Marx , Blum et surtout le grand Jaurès  ,et d’autres encore….
Toutes  ces expériences nous servent pour notre socialisme du 21ème siècle , ce socialisme à visage humain qui émancipe les peuples : rendant les héros et les homo égaux,  rendant les femmes et les hommes égaux, libres,  et combattifs pour leurs droits, leurs droits humains… 
Nous qui venons de la forêt et qui allons vers les étoiles,  nous la race humaine, seule dans l’ immensité de  l’ univers  ,
nous n'avons pas d’ autre choix que de nous battre .Si nous ne  le faisons pas,  qui le fera pour nous ?
personne je vous l assure personne .
au Parti de Gauche nous avons une mission, un but ,un devenir  .Nous sommes conscients de n’être qu’une poignée 
mais le nombre ne compte pas, ce qui compte c’est notre détermination à façonner  l’ histoire, à être des acteurs .
Nous avons vu que le libéralisme mangeait tel un Un ogre nos acquis,mais nous avons pas baissé la tête :nous la relevons .
Nous sommes  les héritiers de l’histoire populaire, soyons-en  dignes et fiers..
 mes amis dites-vous :  notre peuple souffre , souffre de ses 8 millions de travailleurs pauvres , de la destruction de ses acquis et même de la destitution de son état.
Il a besoin de gens éclairés et d’ avant garde qui sont là pour éduquer et convaincre notre peuple : celui de la constitution de 1792, de la Commune et du Front Populaire.
Notre peuple souffre des égoïsmes des partis même ceux de gauche qui sont refermés sur eux-mêmes  et non sur  l’intérêt général du peuple.
Oui, nous voulons la révolution par les urnes, oui nous voulons un grand parti de  l’ autre gauche .
voilà notre mission :  nous n’ avons pas d'autre but que convaincre nos concitoyens et nos amis de l'autre gauche .
nous devons l' incarner. le transpirer plutôt que de transpirer  la négativité et la défaite


vive le pg vive la  république  social.

Publié dans billet d'humeur

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G
<br /> L’enthousiasme de Nicolas fait plaisir à voir.<br /> Il donne envie de militer.<br /> J’aime bien cette phrase :<br /> « Le jour où nous avons coupé la tête de la monarchie nous avons coupé la verticalité ».<br /> Sauf que, la verticalité se recrée sans cesse, les monarques reviennent, même s’il leur faut des talonnettes pour être à la bonne hauteur.<br /> Dans tous les domaines se multiplient les choses qui ne peuvent plus durer, et qui durent…qui durent.<br /> Il faut créer une façon neuve de militer.<br /> Il faut croire en la thèse de Marx : « l’émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes ».<br /> Il faut y croire et surtout la mettre en pratique, ce qui veut dire créer une organisation émancipatrice qui ne tue pas l’émancipation du militant dans une obéissance aveugle.<br /> La révolution ne se fera pas par la seule voie électorale.<br /> Les batailles électorales ont leur importance, et nous devons nous « approprier » les combats électoraux, sans les sous-estimer ni les surestimer, et surtout sans oublier que la victoire électorale<br /> n’est que le début d’un autre combat : Si nous croyons vraiment à la thèse de Marx : « l’émancipation des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes » alors il faudra faire passer dans la<br /> vie le « tout est à nous » du statut de slogan au statut de réalité. Nous devons pour cela ouvrir la voie à une façon de militer libératrice où se préfigure le dépassement de l’ordre social<br /> actuel<br /> Aussi, faut-il dés maintenant, mener les batailles appropriatives : la poste est à nous, l’école est à nous, l’énergie, l’eau, la terre sont à nous. C’est dans ces luttes que nous construisons ce<br /> qui préfigure, bien mieux que le plus complet des programmes électoral, la société que nous voulons pour demain.<br /> Ce dont à besoin un combat transformateur efficace, ce n’est pas de la verticalité de pouvoir et de décision, mais de la centralité de délibération d’une organisation qui se structure sur des<br /> batailles « appropriatives » menée sur des foules de terrains divers par des collectifs locaux durables et formant peu à peu un maillage général.<br /> Ce dont à besoin un combat transformateur efficace, face au morcèlement des forces populaires c’est d’une stratégie « de front » : il nous faut faire front sur tous les fronts<br /> - Front électoral<br /> - Front idéologique (anti « libéral-capitaliste-traité de Lisbonne » Pro « humaniste-social-écologique)<br /> - Front dans les luttes pour la défense des acquis et la conquête de droits nouveau<br /> <br /> Et Enfin Nicolas à raison de le dire, ce dont à besoin un combat transformateur efficace, c’est aussi d’écarter la négativité, l’exclusion, la division, la crispation.<br /> Confiance, sérénité, camaraderie, pluralisme, doivent être le ciment de l’unité militante.<br /> <br /> <br />
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A
<br /> j'aime, je partage et j'encourage ! Cela fait du bien pour un dimanche plutôt une bonne messe<br /> <br /> <br />
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